CA ME DEGOUTE
Publié : 29 oct. 2005 15:23
Meurtre à Epinay :
deux interpellations (NOUVELOBS.COM) le 29.10.05 à 10:05
Un homme de 46 ans a été tabassé à mort jeudi dans une cité HLM d'Epinay-sur-Seine après avoir pris des clichés de lampadaires dans le cadre de son travail.
Epinay-sur-Seine (Sipa)
Deux jeunes d'une vingtaine d'années ont été interpellés vendredi soir 28 octobre à Epinay-sur-Seine au lendemain de l'agression qui a coûté la vie à un homme qui photographiait des réverbères dans cette commune de Seine-Saint-Denis, rapporte samedi 29 octobre Le Parisien/Aujourd'hui en France.
D'après le quotidien, Jean-Claude Irvoas, 46 ans, a été roué de coups jeudi après-midi par trois individus dans le quartier Orgemont, "sous les yeux de sa femme et de sa fille, qui l'attendaient dans sa voiture".
Consultant de l'entreprise havraise ETI, qui fabrique des lampadaires antivandalisme, il était venu à Epinay-sur-Seine pour photographier ces équipements in situ et les présenter ensuite à d'autres clients potentiels.
Selon les premiers éléments d'enquête, il a eu l'oeil attiré par des lampadaires d'aspect novateur. Il est descendu de voiture et a décidé de les prendre en photos.
Il a alors été agressé par plusieurs personnes, des jeunes gens de la cité, selon des témoignages, au moins quatre à cinq personnes.
Ces dernières lui auraient demandé de quitter les lieux, toujours selon les premiers témoignages, et de ne pas prendre de photos.
"Massacré"
Le ton serait vite monté, dans des circonstances qui restent à préciser. Certains des jeunes auraient en outre tenté de se saisir, en vain, de son appareil photo.
"Tout est parti très vite et de manière très confuse", selon une source policière.
Jean-Claude Irvoas a été roué de coups de poings et de pieds. Il a fait un arrêt cardiaque, a été soigné sur place puis transporté, dans un état jugé très sérieux, à l'hôpital Delafontaine à Saint-Denis, non loin de la cité d'Orgemont. Il est décédé peu après, dans la nuit, sans avoir pu être ranimé.
La police avait précisé jeudi qu'il avait été "massacré", des enquêteurs évoquant plus pudiquement vendredi un "véritable passage à tabac aux conséquences dramatiques" et "sous le regard de sa famille". "Personne ne lui est venu en aide", selon ces mêmes sources policières.
deux interpellations (NOUVELOBS.COM) le 29.10.05 à 10:05
Un homme de 46 ans a été tabassé à mort jeudi dans une cité HLM d'Epinay-sur-Seine après avoir pris des clichés de lampadaires dans le cadre de son travail.
Epinay-sur-Seine (Sipa)
Deux jeunes d'une vingtaine d'années ont été interpellés vendredi soir 28 octobre à Epinay-sur-Seine au lendemain de l'agression qui a coûté la vie à un homme qui photographiait des réverbères dans cette commune de Seine-Saint-Denis, rapporte samedi 29 octobre Le Parisien/Aujourd'hui en France.
D'après le quotidien, Jean-Claude Irvoas, 46 ans, a été roué de coups jeudi après-midi par trois individus dans le quartier Orgemont, "sous les yeux de sa femme et de sa fille, qui l'attendaient dans sa voiture".
Consultant de l'entreprise havraise ETI, qui fabrique des lampadaires antivandalisme, il était venu à Epinay-sur-Seine pour photographier ces équipements in situ et les présenter ensuite à d'autres clients potentiels.
Selon les premiers éléments d'enquête, il a eu l'oeil attiré par des lampadaires d'aspect novateur. Il est descendu de voiture et a décidé de les prendre en photos.
Il a alors été agressé par plusieurs personnes, des jeunes gens de la cité, selon des témoignages, au moins quatre à cinq personnes.
Ces dernières lui auraient demandé de quitter les lieux, toujours selon les premiers témoignages, et de ne pas prendre de photos.
"Massacré"
Le ton serait vite monté, dans des circonstances qui restent à préciser. Certains des jeunes auraient en outre tenté de se saisir, en vain, de son appareil photo.
"Tout est parti très vite et de manière très confuse", selon une source policière.
Jean-Claude Irvoas a été roué de coups de poings et de pieds. Il a fait un arrêt cardiaque, a été soigné sur place puis transporté, dans un état jugé très sérieux, à l'hôpital Delafontaine à Saint-Denis, non loin de la cité d'Orgemont. Il est décédé peu après, dans la nuit, sans avoir pu être ranimé.
La police avait précisé jeudi qu'il avait été "massacré", des enquêteurs évoquant plus pudiquement vendredi un "véritable passage à tabac aux conséquences dramatiques" et "sous le regard de sa famille". "Personne ne lui est venu en aide", selon ces mêmes sources policières.